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Retrouvez- y Manuela Hames et beaucoup d'autres artistes.

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Manuela Hames est née en 1962 à Eupen en Belgique.
Elle dessine depuis l'enfance et a fait des études en
arts plastiques à Verviers.
L'éclat de l'acrylique fait pétiller ses oeuvres.
Sa technique s'apparente au pointillisme, qu'elle
mélange à des aplats et du lettrage.
Ses sujets sont toujours féminins, tout en rondeur
et volupté. Elle s'inspire de son imaginaire, de fragiles
instants volés au temps qui passe. Elle ne dévoile jamais
ses secrets, seulement les courbes qui les habitent.
Chaque oeuvres est le fragment d'une histoire qui laisse
au spectateur le plaisir d'imaginer une suite.
Un esprit coquin demeure en elle...
"La chair n'est jamais triste" dit'elle, il faut rendre
le sourire au bien pensant.

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Manuela Hames

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Née en 1954, Jeanne Lorioz s'est formée pendant
trois ans à l'Ecole supérieure d'arts appliqués
de Paris.
Cours de modelage, d'anatomie, de dessin d'après
modèle vivant, etc. Tout y fut passionnant, si ce
n'est un état d'esprit ambiant trop conceptuel,
qui ne convint pas à Jeanne la minutieuse.
Dix ans de latence, d'expérimentation en décoration
intérieure, avant de retrouver le goût de peindre.
Aujourd'hui, elle s'est créée un univers peuplé
exclusivement de femmes toutes rondes, au fort
potentiel comique.

"Je suis belle et ronde et je plais.
J'ai du caractère, je suis vraie.
Mais quel est ce monde inhumain
Qui veut que l'on fonde du bassin ?"

"Hymne à la Ronde" de Pascal Vantès

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Jeanne Lorioz

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Emotions, reflets de l'âme.

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Dean McDowell

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Guillaume Seignac

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Joshua  Bobrove

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Patrice Murciano est né à Belfort en 1969. Il vient s'installer
à Montpellier dès son plus jeune âge.
Passionné par l'art très tôt, il commence par reproduire des personnages
de bande-dessinée dés l'âge de 6 ans, il continue ensuite à peindre
ses premières muses (qui sont à l'époque des mannequins de magazine de modes
vers l'âge de 8 ans à l'aide du maquillage de sa mère qu'il pose sur l'envers
des rouleaux à tapisserie abandonnés au grenier.
Il exposera sa première toile à l'âge de 12 ans lors d'une exposition collective.
Inspiré par les nues romantiques du photographe David Hamilton, il ne cessera
alors de peindre ces nus voilés jusqu'à lui-même se lancer dans la photo à l'âge
de 16 ans.
A dix huit ans il participe à une exposition collective organisée par "Arts et
Lettres de France" où il reçoit la médaille du jeune espoir. Il laisse de côté
la peinture durant quelques années pour ne se consacrer qu'à la photo, portraits,
nu, mode…
Patrice est essentiellement intéressé par la femme et l’érotisme. Cette femme
« muse » il la reprendra en peinture en 1996 avec un style qu’il nomme « Courbisme »
(petit clin d’œil au cubisme de Picasso qui fait parti des grands maîtres de la
peinture qui, avec Basquiat et Pollock, inspirent Patrice), mais surtout en hommage
aux courbes de la femme, Femme haute en couleur dont il exagère les formes.
Patrice détruit puis recompose cette femme qu’il veut « parfaite » dans cet équilibre
de lignes, de courbes et de couleurs vives.
En 2010, il expose pour la première fois ses peintures « Courbisme » en galeries
(Galerie Concorde à Paris), suivront en 2011 d’autres galeries en province mais
également un musée à Bahia au Brésil le M.A.C, où il fera une donation en juin 2011.
Suivront en 2012 une galerie à Bruxelles et une autre à Shanghai.

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         Patrice Murciano

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Joka Art est un artiste peintre spécialisé en hyper pointillisme
dans un style pop-surrealiste. Il fait des expositions un peu
partout dans la région, autour de Los Angeles, aussi bien
qu' internationalement. Il travaille habituellement sur base
d'anciennes photos trouvées.

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Joka Art

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PATRICK CORNEE a planté son atelier sur les rives de la méditerranée,
que l’on retrouve de manière omniprésente dans son œuvre. Sa découverte
de la création artistique, et des mille et une possibilité qu’elle engendre,
remonte à sa plus tendre enfance.
Il a eu trés tôt la révélation de la magie d’une ligne, d’une forme,
de la couleur et compris que tout lui était permis en matiére de dessin.
La re- création du monde à son idée.
Si une phrase pouvait résumer toute son œuvre présente, ce serait sans
aucun doute celle d’Umberto Eco dans le pendule de Fou cault : « il suffit
de fléchir la surface d’un miroir pour basculer dans l’imaginaire » .
Le spectateur reste pour le moins interloqué devant ses toiles, un peu délire,
illusionnistes,contorsionnistes, ludiques et étranges, dont il comprend
peu à peu le message . . .

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Patrick Cornée

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